Je me suis toujours demandée où elle trouvait l’énergie de tout faire, d’assumer toutes ces tâches, car il vrai que les travaux se faisaient pendant le mois de congé de papa. Rajoutons à cela les récoltes du jardin, les fruits, les conserves.
Il lui arrivait parfois le dimanche après midi, de s’asseoir au verger et de lire.
Mes parents étaient comme les fourmis. En été, ils ne dansaient pas mais préparaient l’hiver.
Et toi, cher père, ne t’es- tu jamais dit que tu avais une femme formidable !