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Le chemin des Ecoliers
Mon Histoire Page 13

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Oui, j’ai tout de même de beaux souvenirs même s’ils ne sont pas pléthores.
Nous avons toujours eu un point commun : Tu aimais la nature, les animaux et moi aussi.
Pour l’anecdote, c’était toujours un charmant voisin qui venait tuer les lapins. Toi, tu les nourrissais, leur parlaient. Tu ne pouvais pas les tuer.
Quand à moi, chaque fois je me sauvais dans ma chambre.
Et quand maman des découpait, il paraît que je me cachais sous la table. Mais quand ils étaient cuits, c’était magnifiquement bon !
Papa me laissait emmener les lapereaux dans les champs. J’ai eu des lapins, rien qu’à moi, interdits de casserole dont un est mort de vieillesse. Il a eu une longue vie et fut très heureux.   Le suivant est mort d’une crise cardiaque. Allons donc ! Même les lapins ! Pourtant ils n’étaient pas dopés, nourrit bio, comme ils disent aujourd’hui.
J’ai su par ouïe dire que tu aurais aimé avoir un chien, mais maman n’a jamais voulu (mauvais souvenir de jeunesse).
Je me souviens du jour où j’avais ramené un chien perdu à la maison. Je devais avoir 17 ans, j’étais allée me balader en vélo et sur la route, j’ai aperçu ce pauvre chien qui divaguait de partout. C’était les grandes vacances et je suppose que c’était le fruit de gens « sympas » qui avaient abandonné leur bête.
Maman l’a nourrit, car de toute façon, elle n’aurait jamais fait de mal aux bêtes et bien sûr je l’ai supplié de le garder mais rien n’y a fait.
Le soir, mon frère l’emmena au chenil.
C’est dure parfois la vie !