Assise sur le pavé,
Ton fidèle compagnon
A tes côtés.
La main tendue,
Fatiguée…le geste las,
Tu croises mon regard.
Tu ne sais vers qui demander.
Horreur de la société !
Tous ces gens qui font semblant
Et ne veulent pas
Affronter ton regard.
C’est avec un goût de désespoir,
Car je sais que ces quelques pièces
Ne construirons pas ton espoir.
Mon cœur crie contre
Cette société égoïste.
Ton regard me croise…
Ton merci et ton sourire
Dont je suis indigne
Me redonne l’espoir.
Que pour toi
S’ouvre la Vie!