Là, au bord de la rivière,
A travers l’eau claire,
Le pêcheur s’émerveille
De toutes ces richesses
Qui sans cesse
Se renouvellent sans son aide.
Pourquoi faudrait-il s’inquiéter ?
La douceur, la tranquillité,
Le souffle du vent
Lui redonne l’espoir
Que le monde peut être beau.
Suffit-il de beaucoup de choses
Pour être en harmonie avec soi-même ?
Il lance et relance le fil,
Et pour lui s’immortalise
Au fond de son être
L’Invisible, l’Infini.