Adieu verger !
 Adieu nature !
 En quel nom !
 Au nom de la modernité.
 Les machines t’ont arraché,
 Et broyé.
 L’oiseau monte
 Haut dans le ciel
 Regarde et se met à pleurer
 Aie pitié !
 De ce pauvre mortel
 Qui se croit immortel
 Et qui veut tout exploiter
 Au nom de la modernité.
 
S’il savait (l’homme)
 Le mal qu’il fait
 S’il savait la profondeur
 De la tristesse que je ressens
 Et, pourtant plus rien
 Ne sera comme avant.
 J’ai tant de ressentiments.
 Avec impatience,
 J’attends la fin des temps.